N’a-t-on pas tous quelque chose qui nous rappelle l’être perdu ? Un vêtement, un livre, une photographie... On accorde à cet objet un fétiche qui nous est propre. On ne veut pas le jeter ni même l’utiliser, on ose à peine le toucher par peur de l’abîmer.
Que faire de cet objet silencieux dont le bruit nous hante ?
Que faire de cet objet silencieux dont le bruit nous hante ?