Fiona Faivre (née en 1998 à Chalon-sur-Saône) vit et travaille à Dijon. Diplômée d’un BTS photographie à Paris, ainsi que d’un master à l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2023, elle développe une pratique pluridisciplinaire mêlant écriture, photographie, vidéo, installation et performance.
Son travail interroge les mécanismes de l’art contemporain : les rôles que chacun y joue, les codes qui le régissent, les formes qu’il valorise ou relègue. En s’appuyant sur les outils du théâtre – tant dans la forme que dans la pensée – elle met en scène le système de l’art comme un théâtre de la valeur, de la représentation et du pouvoir.
À travers des protocoles précis et une attention au langage, elle crée des situations où l’œuvre d’art se rejoue à travers ses propres conditions d’apparition : commissaire-priseur, scénographie, traduction, rituel. Loin d’un simple détournement, sa recherche met en tension la figure de l’artiste, la place du spectateur, et la performativité des gestes d’exposition.
Fiona Faivre s’intéresse tout autant à la pensée conceptuelle qu’à sa réception : en empruntant des formes vernaculaires, en cultivant une ironie subtile, elle cherche à faire apparaître les seuils, les zones floues, la porosité de l’art.
Elle est membre de l’Atelier Velvet à Longvic, travaille à un projet d’édition pour soutenir la jeune création, et co-produit un podcast avec Lucie Kerzerho sur le quotidien d’un·e artiste.
Son travail interroge les mécanismes de l’art contemporain : les rôles que chacun y joue, les codes qui le régissent, les formes qu’il valorise ou relègue. En s’appuyant sur les outils du théâtre – tant dans la forme que dans la pensée – elle met en scène le système de l’art comme un théâtre de la valeur, de la représentation et du pouvoir.
À travers des protocoles précis et une attention au langage, elle crée des situations où l’œuvre d’art se rejoue à travers ses propres conditions d’apparition : commissaire-priseur, scénographie, traduction, rituel. Loin d’un simple détournement, sa recherche met en tension la figure de l’artiste, la place du spectateur, et la performativité des gestes d’exposition.
Fiona Faivre s’intéresse tout autant à la pensée conceptuelle qu’à sa réception : en empruntant des formes vernaculaires, en cultivant une ironie subtile, elle cherche à faire apparaître les seuils, les zones floues, la porosité de l’art.
Elle est membre de l’Atelier Velvet à Longvic, travaille à un projet d’édition pour soutenir la jeune création, et co-produit un podcast avec Lucie Kerzerho sur le quotidien d’un·e artiste.